dimanche 27 décembre 2009

LA COSTA DE GALICIA



la Costa de Galicia
Après avoir visité les côtes méditerranéennes et atlantiques de la partie est et sud de l'Espagne, orientons notre visite vers le nord-ouest et la Galice : la Costa de Galicia.
La Costa de Galicia, située sur la côte Atlantique, au nord du Portugal et au nord-ouest de l'Espagne est la côte qui s'étend le long de la communauté de la Galice. Cette région tient sa réputation de Santiago de Compostela, la capitale, rendue célèbre par le pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle dont le tombeau repose dans la cathédrale de la ville.
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La Galice est une communauté autonome composée de quatre provinces : La Corogne (La Coruña), Lugo, Orense et Pontevedra. On y parle deux langues officielles, le castillan et le galicien.
La Costa de Galicia s'étend sur 1300 km et comprend plusieurs côtes : les côtes des Rías Altas (golfes profonds du nord) constituées de falaises, criques, bancs de sable, calanques et plages, le Golfe Artabre (Golfo Ártabro) où la ville de La Corogne est un lieu incontournable, les falaises escarpées de la Costa da Morte et, enfin, les Rías Baixas (golfes profonds du sud) et ses belles plages.
La Galice, bien que peu reconnue, possède un grand attrait culturel, notamment au niveau architectural. En effet, elle compte le plus grand nombre de monuments romans de la Péninsule, des cathédrales à l'image de la cathédrale de Saint Jacques de Compostelle, mais aussi des monastères tel que celui de Ribeira Sacra ou de plus humbles constructions que vous pourrez découvrir en déambulant le long des ruelles des principales villes de Galice comme La Corogne, Vigo, Pontevedra, Lugo, Ourense, Tui ou Mondoñedo. L'art roman rural est aussi fortement implanté dans l'intérieur des terres où des centaines de paroisses rurales ont été érigées.
Quand on parle de Galice, il faut également mentionner la faïence de Sargadelos. Ce complexe industriel et culturel est une entreprise dont l'origine remonte à la fin du XVIIIème siècle et qui participe à la mémoire du pays tout en utilisant les ressources naturelles de la région, où industrie et dimension artistique sont en étroite relation.
Une autre ressource touristique de la Galice est sa gastronomie. Les produits de la mer tels que le poisson et les crustacés, mais aussi ceux de la campagne sont reconnus pour leur qualité et leur diversité dans toute l'Espagne. Parmi les plats typiques de Galice, on peut citer la "tarta de Santiago" ("tarte de Saint Jacques") réalisée pour les pèlerins mais qui fait aussi le bonheur des simples touristes, le veau de Galice ou le pousse-pied (percebe) de la côte nord de Galice.
Le nord-ouest de l'Espagne, et particulièrement la Galice, est une région injustement méconnue du grand tourisme, peut-être à cause de son climat océanique, semblable à celui de notre Bretagne. Néanmoins, il s'agit d'une région d'une grande richesse culturelle, avec de merveilleux paysages et qui mérite le détour.pleinement de tous les petits (et grands) plaisirs qu'offre cette incroyable région de l'Espagne et partir à la découverte d'une Espagne encore différente.

SANTIAGO DE COMPOSTELA


en Santiago de Compostela.
En España hay muchos lugares mágicos y llenos de encanto y uno de ellos, sin duda, es Santiago de Compostela, ciudad que fue declarada Patrimonio Cultural de la Humanidad por la Unesco, en 1985, dada su belleza monumental y también por ser un referente en la peregrinación del famoso Camino de Santiago.
Santiago de Compostela, ciudad de La Coruña, es desde principios de los 80, la capital de Galicia, con lo que allí están la sede de la Junta de Galicia y el Parlamento.
Santiago de Compostela, ciudad de La Coruña, es desde principios de los 80, la capital de Galicia, , ser un importante núcleo de peregrinación cristiana es uno de sus principales valores. De hecho, y muy relacionado con ello, uno de los referentes de la capital gallega es su catedral dedicada al apóstol Santiago el Mayor. Visitar la catedral, dando un paseo antes por la Plaza del Obradoiro, es de obligado cumplimiento para todos.Otro de los monumentos que hacen grande a Santiago es su universidad, de más de 500 años de historia, que da a la ciudad un calor universitario que se respira en sus calles, en sus bares, en sus tradiciones.Aquí encontrará toda la información que necesita sobre Santiago de Compostela: su historia, sus monumentos más importantes,

dimanche 15 novembre 2009

BARCELONE


Barcelone, capitale de la Catalogne, est une ville cosmopolite et méditerranéenne où se côtoient vestiges romains, quartiers médiévaux et les plus beaux exemples de l'art nouveau et des avant-gardes du XXe siècle. D'ailleurs, l'UNESCO a consacré patrimoine de l'humanité les constructions emblématiques des architectes catalans Antoni Gaudí et Lluís Doménech i Montaner.
D'origine romaine, sa longue histoire et son dynamisme économique ont laissé à Barcelone un impressionnant héritage culturel, que l'on peut apprécier dans la conservation de son riche patrimoine historique et artistique et dans la promotion des courants artistiques les plus innovants. Un agenda culturel particulièrement fourni conduira le visiteur dans ses musées, ses expositions, vers ses sculptures à ciel ouvert... et lui proposera un programme très complet de musique, théâtre et danse.
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CULTURE GASTRONOMIQUE DE BARCELONE


La culture populaire y a aussi une place de choix; Barcelone n'oublie pas ses traditions profondément enracinées comme la fête de la Mercè ou celles des quartiers de Gràcia, Sants ou Poblenou, qui sont les meilleures occasions pour connaître l'aspect festif de la ville.
Tradition et modernité sont les deux piliers d'une gastronomie innovante, basée sur les légumes frais, les poissons frais, la charcuterie et l'huile d'olive. Pâtisserie salée et sucrée artisanale et vins mousseux sont le complément d'une approche rapide de la culture gastronomique de Barcelone.

BARCELONE LA SUITE


Se promener dans les rues de Barcelone est une surprise de chaque instant. Les rues piétonnes des vieux quartiers, les espaces verts et un splendide front maritime où sont situées des installations modernes sont le reflet de son caractère si enclin à l'intégration. Barcelone a su ennoblir son passé sans oublier pour autant les paris de l'avenir. La ville est pourvue d'extraordinaires infrastructures destinées à recevoir séminaires, symposiums et concours internationaux. Son exceptionnel réseau de communication, son climat méditerranéen et ses attraits touristiques font de Barcelone une importante ville d'affaires. Quartiers d'affaires, centres d'expositions et de congrès accueillent tout type d'initiatives.
Le visiteur, homme d'affaires ou touriste, pourra profiter aussi du caractère méditerranéen de Barcelone, particulièrement sur la Costa del Garraf et celle del Maresme. La ville possède, en outre, de belles plages urbaines, des ports de plaisance et des terrains de golf donnant sur la mer. Ceux qui aiment la nature n'auront guère à s'éloigner pour découvrir la sierra de la Cordillère Littorale et les Pyrénées catalanes.

samedi 24 octobre 2009

SORTIE CULTUREL EN FAMILLE



Cordoue possède un grand nombre d'espaces verts répartis sur toute la ville, idéals pour la promenade et les jeux pour enfants. Le jardin botanique, situé sur la berge droite du fleuve Guadalquivir, est l'un des plus importants.
Cette enceinte abrite le Musée ethnobotanique, unique en son genre en Espagne, consacré à la relation de l'homme avec les plantes. Il est en majorité découvert, avec de grandes zones plantées d'arbres. Il possède une serre divisée en différents microclimats.
En face du jardin botanique, le jardin zoologique est conçu comme un jardin à la végétation luxuriante, où les plus jeunes pourront découvrir une partie très représentative de la faune locale.
Mais la capitale vous réserve encore de nombreux autres espaces pleins de charme, comme les jardins de l'Alcazar, de style arabe, avec des citernes, des jets d'eau, des clôtures et des plantes aromatiques ; le Paseo de la Victoria qui, avec les Jardins Diego de Rivas et ceux de Vallellano, forment une grande promenade au coeur de la ville ; ou les Jardins de la Ribera, situés dans le lit du fleuve Guadalquivir, avec ses îlots, ses oiseaux aquatiques et ses anciens moulins, ou encore la noria de la Albolafía.
Comme n'importe quelle grande ville, Cordoue possède un grand nombre de salles de cinéma. Pour la plupart, elles proposent des séances pour enfants en matinée, les week-ends et les jours fériés, avec des réductions pour les enfants.
Les options ludiques s'étendent également à la province de Cordoue. Dans la municipalité de La Carlota, située en pleine nature, les plus petits pourront visiter la ferme-école Fuente Redonda et entrer en contact direct avec le mode de vie en milieu rural. Ses installations incluent, parmi d'autres dépendances, une étable, un verger, une piscine et différents espaces de récréation.
Pendant les mois d'été, Aquasierra, avec ses nombreuses attractions aquatiques, ouvre ses portes pour lutter contre la chaleur. Ce parc aquatique, situé à quelques 25 kilomètres de Cordoue capitale, laissera un souvenir inoubliable à tous, enfants et adultes.

VILLE MILLÈNAIRE CORDOBA



Située à l'intérieur de la communauté autonome andalouse, Cordoue est un mélange de passé et de modernité. Cette ville millénaire, inscrite au patrimoine de l'humanité, est un héritage vivant des diverses cultures qui y ont vécu au cours de l'histoire.
Peu d'endroits peuvent se vanter d'avoir été la capitale de l'Hispania Ulterior sous l'Empire romain et la capitale du califat des Omeyyades. Splendeur se reflétant, en outre, dans l'intellectualité de ce centre de pensée et de savoir d'où ont émergé des figures comme Sénèque, Averroès ou Maimonides.
En se promenant dans la vieille ville de Cordoue, vous découvrirez un dédale de ruelles, de places et de patios blanchis à la chaux ordonnés autour de la Mosquée-Cathédrale, reflet de l'importance de la ville à l'époque médiévale et symbole par excellence de la capitale.

Sans oublier sa splendeur passée, Cordoue est une ville moderne qui a su s'adapter au temps présent et offre les infrastructures et services les plus modernes, ainsi qu'une offre hôtelière très importante.
Bien reliée au reste des capitales andalouses, elle dispose d'un train à grande vitesse (AVE) et d'un vaste réseau de chemins de fer qui la rapproche de grands centres urbains comme Madrid ou Séville. Une fois à l'intérieur de la ville, un large réseau d'autobus et de taxis mettent à la portée du visiteur n'importe quelle destination en quelques minutes.
Cordoue est également synonyme d'art, de culture et de loisirs. Un grand nombre d'évènements culturels y sont organisés tout au long de l'année : festivals de flamenco, concerts, ballets... activités complétées par un bon nombre de musées et par une vie nocturne très animée.
En outre, la province possède d'importantes traces de l 'héritage andalou, dont la manifestation la plus représentative est la Medina Azahara, située à proximité de la ville. Mais elle est aussi un véritable spectacle pour les amants de la nature. Les parcs de Sierra de Cardeña dans la vallée de Los Pedroches et Montoro, Sierra de Hornachuelos et Sierras Subbéticas offrent la possibilité de pratiquer tout type de sports à ciel ouvert, ce qui par ailleurs permet au visiteur de profiter de la richesse de la province.

jeudi 1 octobre 2009

HISTORIA DE VALENCIA



Dès leur arrivée sur les rives du fleuve Turia, les guerriers romains ont su que Valencia était promise à une destinée hors du commun.

Aujourd'hui, avec une histoire fascinante à son actif, Valencia est une ville qui regarde vers l’avenir, célébrant son passé et menant l'Espagne vers un futur prometteur. Il n’y a qu’à voir son ultra-moderne Cité des sciences pour le constater ! Découvrez ci-dessous les origines de Valencia et lisez les autres pages de notre section pour tout savoir de l'Histoire de la ville!


Les origines de Valencia
L'histoire de Valencia remonte à l’an 138 avant JC, époque où la péninsule ibérique faisait partie de l'immense Empire Romain. Après la deuxième guerre de Punic, les légionnaires romains se sont installés sur les rives du fleuve Turia et y ont construit une Cité qu'ils ont appelée "Valentia" (origine de Valencia, nom qu’elle porte aujourd’hui).

Réputés pour leur art de la conception et une architecture impeccable, les Romains ont installé et développé le premier système d'irrigation de la région, série de canaux et de barrages que les Maures amélioreront quelques années plus tard. Rendez-vous à la Plaza de la Almoina de Valencia afin d’explorer les impressionnantes ruines archéologiques romaines qui s’y trouvent. Vous pourrez constater à quel point les Romains maîtrisaient l’art de la construction durable !

Avec l'effondrement du puissant Empire Romain, les Wisigothes, tribus d'origine germanique, se sont installés et ont joué pendant plus de deux siècles, un rôle important dans les affaires nationales. Malheureusement, alors que le règne des Wisigothes touchait à sa fin,


Carmen, partie la plus ancienne du quartier historique de Valencia et de loin la plus intéressante pour se balader. Avec ses rues étroites datant de plusieurs siècles, ses fortifications médiévales et toutes sortes de restaurants, cafés et bars, elle est l'un des centres de la vie nocturne de Valencia et un excellent lieu d’observation et de découverte.


Comment une ville peut-elle être surnommée "ville de la Renaissance" ? Dans le cas de Valencia, c’est en entretenant son patrimoine et en l’enrichissant de nouveautés. Le gouvernement de Valencia s’est donné pour objectif d’encourager l'industrie du tourisme de la ville et de développer l'intérêt international qu'elle suscite. Quelques nouveaux projets incluent une réhabilitation complète du quartier historique de Valencia, la nomination de Valencia comme hôte des frégates de la Copa de America en 2007 et la construction de l’ultramoderne Cité des Arts et des Sciences. Celle-ci, avec son éblouissant ensemble de constructions futuristes comprenant un centre de musique et d’arts multifonctionnel, l’aquarium le plus grand d’Europe, un musée de sciences interactif, un planétarium, un théâtre IMAX et bien plus, est désormais la deuxième attraction la plus visitée d’Espagne et, sans aucun doute, la première de ce genre en Europe.
L'histoire de Valence en Espagne s’étend sur plusieurs millénaires.

VALENCIA


Valencia
Ville de la traditionnelle paella, de l’énigmatique Saint Graal et du légendaire Cid, Valencia possède un héritage culturel et historique unique qui laisse les autres villes envieuses ! Découvrez la troisième plus grande ville d’Espagne et plongez dans une multitude d’informations : histoire passionnante, gastronomie exquise, soleil éclatant...

En partant du Nord de l’Espagne, située à mi-chemin sur le littoral méditerranéen et au cœur de La Huerta, région la plus fertile d’Europe, Valencia était destinée à devenir une des villes phares d'Espagne. Un destin qui s’explique, non seulement par les civilisations qui ont marqué son histoire, mais aussi par son commerce maritime et sa richesse agricole. Avec une population avoisinant aujourd'hui les 800000 habitants, Valencia est la troisièmement plus grande ville d’Espagne et certainement, en tant que capitale de la Comunidad Valenciana (Communauté de Valencia), une des plus importantes.

Aujourd'hui, de par sa culture, son dynamisme, sa modernité, ses commerces et sa vie nocturne - en particulier à El Carmen, autour de son université et le long de ses plages – Valencia dispose de tous les attributs que l’on attend d’une grande métropole. Toutefois, malgré le fort développement du tourisme et des intérêts qu’elle suscite, Valencia est l'une des villes méditerranéennes qui revendiquent fièrement ses particularités régionales. Avec un retour à la langue valencienne, après la mort en 1975 du dictateur ultranationaliste Espagnol Francisco Franco, les Valenciens sont fiers d’être Valenciens et l’expriment en promouvant leurs traditions, Las Fallas. Véritable spectacle pyrotechnique de feux d'artifices, de tours enflammées de papiers mâchés et d’explosions de pétards faisant trembler les murs, elle illustre à merveille le goût pour la fête et la nature quelque peu tumultueuse des habitants de Valencia. Si toutefois vous n’étiez pas convaincu, assistez à un match de l’équipe de football de Valencia. Equipe d’élite du championnat espagnol, elle possède un club de supporters fidèles et une atmosphère dans ses tribunes pour le moins survoltée.

Non seulement Valencia est une ville constamment animée entre feux d'artifices et musique, mais c’est également une ville à la beauté renversante. Avec la mer Méditerranée d’un bleu azur, les plages dorées et les parcs et jardins d’un vert chatoyant, la ville de Valencia est un véritable microcosme de l’architecture espagnole. De la sombre crypte wisigothe de la prison de Saint Vicent le Martyr, à la Lonja de Seda (Halle de la soie) de style gothique en passant par le Mercado Central (marché central), chef d'oeuvre du modernisme et l’un des plus grands marchés couverts d'Europe, la richesse architecturale de la ville est sans égal.
mEn vous promenant dans la ville, vous découvrirez aussi une Valencia imprégnée de hauts lieux culturels avec plus de 40 musées exceptionnels, une collection éclectique de bars et de restaurants, des marchés, des théâtres et un remarquable centre historique. En vous dirigeant vers le nord des barrios (quartiers) de l’Ayuntamiento et de la Cathédrale, vous arriverez à El

VISITER LE CENTRE HISTORIQUE de MADRID



Catedral Almudena et Palacio Real

La cathédrale de Madrid, Catedral Nuestra Señora de la Almudena, est située au sud du palais royal et mérite une visite. Sa construction a duré 110 ans, de 1883 à 1993.

Ce sont les Bourbons qui donnèrent à la ville de Madrid le Palacio Real (palais royal), un immense monument dont l’exploration complète nécessiterait une demi journée. De style néo-classique, sa construction débute en 1738 sur l’emplacement d’une forteresse maure (alcàzar) du IX° siècle. La famille royale l’occupera jusqu’en 1931 (chassée par la république).



De la Plaza de Oriente à la Plaza Puerta del Sol
Devant le palais royal on peut se reposer sur la Plaza de Oriente, crée sous l’occupation du trône d’Espagne par Joseph, le frère de Napoléon I°. On y aperçoit le dos de l’Opéra Royal (Teatro Real) construit au XIX° siècle sur la Plaza Isabel II. De là vous n’êtes pas loin de la Plaza San Martin, puis de la Plaza Descalzas d’où l’on découvre le Monasterio y convento de las Descalzas Reales à l’architecture baroque prisée des Habsbourg. Cet ancien et austère couvent est un musée riche en œuvres de Titien et Rubens. Plus au sud, se trouvent l’église San Ginés et la Chocolateria San Ginés (connue de tous les noctambules madrilènes pour son chocolat et son café). En redescendant sur la très commerçante Calle Mayor vous n’êtes plus qu’à quelques pas de la Plaza Puerta del Sol, pour terminer votre visite du Madrid historique.

PLAZA MAYOR



De la Plaza mayor à San Francisco el Grande
Si sa voisine, la Plaza Puerta del Sol, est le centre géographique de Madrid (et de l’Espagne), la Plaza Mayor est la porte d’entrée du cœur historique de Madrid. Construite sous Philippe III, un Habsbourg dont la statue trône au centre, c’est un bel exemple de baroque castillan, tout en ocre et rose.
A partir d’ici, vous trouverez plaza et églises à tous les coins de rues.
Au sud, c’est la Plaza San Miguel, avec son marché début de siècle et sa rue (Cava San Miguel), bordée de maisons du XVII° siècle et rendez vous des noctambules. Encore plus au sud, on pénètre dans la ville médiévale où se dresse l’Iglesia San Pedro el Viejo, une des plus ancienne église de Madrid (XIV° siècle) et à l’origine une mosquée. A coté, la Plaza de la Paya (un marché aux grains à l’époque des maures où l’on dîne le soir aujourd’hui) est dominée par l’église de San Andres. A quelques rues au sud ouest, la néoclassique Basilica San Francisco el Grande (St François d’Assise), est recouverte du dôme le plus grand du monde. Au nord est de San Andres, la massive église baroque (XVII° siècle) San Isidro (l’ancienne cathédrale de Madrid) possède une coupole caractéristique de l’époque des Habsbourg.



De la Plaza de la Villa au palais royal

A l’ouest de la Plaza Mayor se trouve la plus vieille place de Madrid : la Plaza de la Villa, qui comporte certains bâtiments parmi les plus anciens de Madrid, comme la Casa de los Lujanos (prison de François I° en 1525), la tour Mudéjare (mélange de gothique et de mauresque) et la Casa de la Villa (hôtel de ville). Au centre se dresse la statue du Marqués de Santa Cruz (amiral de Philippe II) et un peu plus au nord, sur la Plaza San Nicolàs, on découvre San Nicolàs de las Servitas, la plus vieille église de Madrid. Par la Calle Mayor on arrive à l’immense ensemble que constituent la cathédrale et le palais royal.

mardi 25 août 2009

LES FONDATEUR DE LA GUITARA FLAMENCA


Esteban de Sanlúcar
La biographie d’ Esteban Delgado Bernal "Esteban de Sanlúcar" (Sanlúcar de Barrameda, 1912 - Buenos Aires, 1989) peut être résumée en quelques lignes. Comme son frère Antonio, il fait ses classes à Séville, dans les "cafés cantantes" et des soirées privées, accompagnant les cantaores qui gravitent autour de l’ Alameda de Hercules. Dès 1935, Fernando el de Triana, cantaor et écrivain, lui consacre une notice dans son livre "Arte y artistas flamencos : "... o me equivoco, o quedara consagrado para poder figurar entre las grandes figuras de la guitarra flamenca" (réédition : Ediciones Demófilo - Córdoba, 1978).
En effet, Esteban de Sanlúcar ne tarde pas à être l’ un des guitaristes habituels des tournées d’ "ópera flamenca", avec toutes les grandes têtes d’ affiche de l’ époque : La Niña de Los Peines, Angelillo, Pepe Marchena, Antonio Mairena, Juanito Valderrama...
L ’ une de ces tournées, avec Concha Piquer, le conduit en Amérique, où il s’ installera définitivement pour fuir la misère franquiste, comme nombre de ses collègues. Il devient alors un soliste renommé, avec des concerts dans la plupart des grands grands pays d’ Amérique latine (Argentine, Vénézuela, Mexique...).
Après un séjour au Vénézuela, il finit par s’ établir définitivement à Buenos Aires, où il enseigne et se produit dans des cabarets. Modeste et discret, Esteban de Sanlúcar fut un remarquable compositeur et un interprète raffiné, d’ une grande musicalité. Il semble que l’ heure de la reconnaissance soit enfin venue, grâce au dévouement de son élève Manolo Yglesias, et du travail des éditions Acordes Concert.

LES STYLES D'ESTEBAN SANLÚCAR LUIS MARAVILLA

LES STYLES D’ ESTEBAN DE SANLÚCAR ET DE LUIS MARAVILLA
Esteban de Sanlúcar et Luis Maravilla sont presque exactement contemporains, et leurs styles présentent beaucoup de caractères communs. Ils seront d’ ailleurs ensemble sur scène à deux reprises, en 1942 avec Juanita Reina, et en 1943 avec Gracia de Triana, et pour quelques solos en "mano a mano".
Pour leurs compositions sur des formes flamenca strictes, les deux guitaristes restent attachés au style de Ramón Montoya, tant sur les plans technique et harmonique que pour la structure (cf, dans la même série, notre article sur Ramón Montoya).
Leurs pièces les plus intéressantes se rattachent à une longue tradition, qui commence avec les solos "a lo flamenco" des guitaristes de la fin du XIXème siècle (Paco el Barbero, Paco de Lucena, Rafael Marín...), et perdure encore actuellement avec les "Boleros", "Baladas"... contemporains. Il s’ agit d’ oeuvres basées sur les techniques et l’ harmonie de la guitare flamenca, mais qui ne suivent pas les règles d’ un "palo" bien défini, ou sont modelées à partir d’ une forme étrangère au répertoire du cante (par exemple, le Zapateado, dont la première version connue pour guitare solo est attribuée à Mario Escudero _cf : notre prochain article). Tous les guitaristes de l’ époque nous ont laissé de telles "Danzas", "Fantasías"..., mais peu s’ y sont révélés aussi inspirés.
Esteban de Sanlúcar nous a légué quelques classiques du genre, repris par Mario Escudero, Pepe Martinez, Paco de Lucía, Rafael Riqueni, Miguel Ochando, Javier Conde... : "Perfil flamenco" (Zapateado), "Castillo de Xauen" (Zambra), "Panaderos flamencos", "Horizonte de Málaga" (Fantasía), "Primavera andaluza" (Danza), et "Mantilla de feria" (Danza). Luis Maravilla ne fut pas moins prolixe en la matière, et l’ on ne peut que regretter le purgatoire dans lequel ses oeuvres restent actuellement reléguées (on en trouvera un exemple avec "Porto Velho" - cf : transcription ci-contre). Mais, assurément, son heure viendra...

mardi 14 avril 2009

FERIA D'ABRIL


LA FERIA débute deux semaines aprés la semaine sante commence le lundià minuit se termine afficiellement dimanche à minuit avec un spectacle de feux artifice au bor de la rivière guadalquivir.

La Feria d’avril est l’une des fêtes les plus internationales et populaires de Séville. Créée en 1847 comme une foire aux bestiaux, l’aspect festif de cette manifestation s’est peu à peu imposé à la partie commerciale, jusqu’à se transformer en rendez-vous incontournable pour les sévillans. Pendant une semaine, les plus de mille casetas montées dans l’enceinte de la feria deviennent le second foyer des habitants de la ville : un endroit où se réunir et se divertir en bonne compagnie jusqu’à une heure avancée de la nuit. Officiellement, la fête commence le lundi à minuit par la « prueba del alumbrado » : l’allumage des milliers d’ampoules colorées de la foire et de la porte principale, qui atteint près de 50 mètres de haut et est différente chaque année. À l’intérieur, les casetas, dans lesquelles les gens vivent la feria, sont déjà installées. Formée par plusieurs associés, la caseta est entendue comme un espace familial où offrir à ses amis, ses parents et ses invités les produits typiques de la terre, du vin, mais aussi chanter, tenir une bonne conversation et – cela va de soi – danser des sevillanas. Cette ambiance chaleureuse et joyeuse déborde également à l’extérieur : les gens dansent généralement dans la rue, et le caractère ouvert des sévillans invite tous les passants à se joindre à la fête. Il faut savoir que la plupart des casetas sont privées et que l’on n’y accède que sur invitation d’un associé ou d’une connaissance. Mais d’autres sont publiques, et l’on peut y entrer librement. Le bureau d’information, situé à l’entrée de la feria, vous les indiquera. Pendant toute la fête, les gens sont vêtus de costumes andalous typiques : les hommes, le costume traditionnel des campagnes, et les femmes, celui de flamenco ou de gitane. Dans la journée, la feria se remplit de centaines de cavalières, cavaliers et voitures à cheval décorés. Il s’agit du paseo de caballos (promenade des chevaux), auquel il est possible de participer en louant une calèche avec chauffeur du service régulier. À proximité de l’enceinte de la feria, se trouve la Calle del Infierno : une zone de jeux très animée, contenant une foule d’attractions pour petits et grands, ainsi que des stands où prendre un verre ou une collation. Un autre élément indispensable sont les taureaux : chaque après-midi, la foule se presse dans les arènes de la Maestranza pour assister à la corrida (les entrées et les abonnements peuvent être achetés à l’avance par téléphone ou sur le site Internet des arènes). Finalement, après une semaine de réjouissances, le dimanche à minuit, un impressionnant spectacle de feux d’artifices met un terme à la Feria d’avril jusqu’à l’année suivante.

samedi 11 avril 2009

FILIGRANA



De los siete sonidos que emite la castañuela solo vamos a coger tres: TA-RRI-PI y uno llamado "posticeo" (fig.4) que emite el sonido PAM.Recuadro A: colocación de las castañuelas en los dedos pulgares.Recuadro B: Tiempos de sonidos.Sonido PI - Golpe con la mano derecha.Sonido TA - Golpe con la mano izquierda.Sonido RRI - cuando rozan los extremos de los dedos de la mano derecha sobre el palillo derecho.



TIEMPOS DE SEVILLANA


Toques de Sevillanas - Al comienzo de este baile, hay que marcar un compás de entrada: Primero, se hace un compás completo con la fonética TA-RRI-TA-PAM-PAM (grabados del 1 al 5) y después uno incompleto, con la fonética TA-RRI-TA-PI-TA (grabados 6 al 10).A continuación es seguido por el clásico y continuo: RRI-TA-RRI-TA-PI-TA-RRI-TA-RRI-TA-PI-TA (fuguras 11 a 16). Seguidos nuevamente de la misma fonética.

mercredi 1 avril 2009

LANGUAGE DE L'EVENTAIL

Il est toujours culte en Espagne. C’est l’accessoire indispensable de la danseuse de flamenco. Mais il raconte aussi l’histoire de la séduction à l’espagnole...

Tenez-le dans la main droite, face au visage, il signifie « suivez moi ». Faites-le tournoyer pour dire « nous sommes surveillés ». Posez-le sur la joue droite il dit « oui », sur la gauche il dit « non », sur les lèvres « embrassez moi » ! C’est un artisan japonais qui invente l’éventail au 7e siècle en s’inspirant des ailes de la chauve souris. Au 16ème siècle, l’éventail est introduit dans toutes les cours européennes. Il fait fureur en Italie. Puis il arrive en France grâce à Catherine de Médicis. A cette époque, les grands maîtres français deviennent experts dans l’art de fabriquer des éventails. Aujourd’hui c’est en Espagne que les éventails sont toujours fabriqués dans les règles de l’art. En bois, en nacre, en ivoire, en corne, en soie, en plume ou en dentelle, il en en existe pour tous les goûts et toutes les classes sociales. Pour les Espagnoles, l’éventail reste un accessoire de mode qu’elles assortissent à leur tenue. Une Espagnole possède en moyenne quatre éventails différents.

L'éventail à travers les âges

L'éventail est un accessoire de mode dont l'usage est attesté dès l'Antiquité. Objet du quotidien ou objet d’art, il a pris différentes formes selon les régions du monde et a été largement utilisé avant de tomber en désuétude. Les éventails anciens font aujourd’hui la joie des collectionneurs.



Histoire de l’éventail en Europe

L’éventail a été importé en Europe par les Portugais à partir du XVIème siècle. Cet accessoire fait fureur en Italie, avant de conquérir toutes les cours européennes. Il a été introduit en France par Catherine de Médicis et son usage a d’abord été réservé à l’aristocratie. Les éventails étaient alors de véritables objets d’art avec des montures d'ivoire, de nacre ou d'écaille et des tissus comme la soie ou la dentelle. L’usage de l’éventail à la cour entraîna la création d’un langage codifié propice au badinage. Il fallut attendre la fin du XVIIIème siècle pour que cet objet se démocratise et soit utilisé dans la classe moyenne. A partir de 1830, il connaît un second âge d'or sous le Second Empire. Il est aujourd’hui quelque peu tombé en désuétude sauf dans quelques pays comme l'Espagne, où il reste l’accessoire des danseuses de flamenco et un accessoire de mode.

mercredi 11 mars 2009

HISTORIQUE ASSOCIATION


L’A.S.C.P.F.E de Paris 8, ASOCIACION SOCIO CULTURAL DE PADRES DE FAMILIAS ESPAÑOLAS
à été créer en Octobre 1976 .
La première assemblée extraordinaire se déroula le 19 Février 1977 avec l’élection définitive du conseil d’administration dont les membres étaient :
Président : Juan Montero
Secrétaire : Fernando Huarte
Trésorier : Salvador Pajaron
Auxilières : Abilio Blanco
José Ortiz
Santiago Prieto
Eugenio Sanchez

A cette époque L’association comptait 141 Membres, avec la possibilité de suivre des cours de langue et culture, de participé a des fêtes entre association, fêtes de Noël, de carnavals,
Des diners de convivialités, des sorties en car pour tout les membres, des concours de dessins pour les enfants entre associations espagnoles .A cette époque une équipe de foot fut créée et aussi une bibliothèque avec la participation de tous ceux qui voulurent bien faire don de livres.

Actuellement les activités effectuées au sein de notre association sont des cours de flamenco
Sévillane et castagnettes.
Nous apprenons à utiliser les castagnettes et il faut pour cela de la passion et de la persévérance.
Nous inventons des chorégraphies de dance flamenco et sévillane afin de les présenter en fin d’année pendant la fête de toutes les associations Espagnoles organisée par la FACEEF.

jeudi 5 mars 2009

FLAMENCO 1ère PARTIE


C'est dans le sud de l'Espagne que naissait cette danse qui fut la rencontre des traditions gitanes et andalouse, cette danses populaire été représentée dans les oberges et cabarets en 1850 qu'elle fut nommée: FLAMENCO.
Cette danse fictive ou s'expriment la souffrance et la joie.
Le Flamenco est une danse sensuelle théâtralisées.

mercredi 4 mars 2009

FLAMENCO 2ème PARTIE


Le Flamenco est uAligné à gauchene art crée par le peuple gitan et andalou, sur base d'un folklore issu des diverses cultures qui sepanourent au long des siécle en Espagne.
Seville et le Berceau du Flamenco, c'est en effet dans cette ville que des Poetes et musiciens trouvéront refuges vers le XVI siécle , à la fin du XVII debut du XVIII commence à etre reconnue, et avoir un role social et culturel.
Il faudras attendre les années 1950 afin que , soit entrepris un travaille important pour faire découvrir aux amateures les plus belles et vibrantes pages du flamenco passé notamen par la
premiere grande anthologie édictée par Ducretet-toma qui obtien le prix Charles-cros en 1956.
Mario bois, propose,1985 le chant du monde crée une anthologie.